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C'est encore loin demain ?
18 juin 2013

Ou comment on se retrouve dans la 4e dimension (4) – Depuis septembre

Mais revenons à septembre (2012) où nous retrouvons nos deux héros tout heureux d’expérimenter le se*xe sans filet.

Mademoiselle Chou, très impliquée, note ses cycles et fait de jolies courbes de température. Très jolies, tellement jolies que lorsqu’elle rencontre une nouvelle gynéco (LaFrisée) en janvier (2013), juste pour voir si « tout va bien », la gynéco pousse des « hourra » et des « youpi » devant de si jolies courbes. Toutefois, ou surtout pour rassurer le Chou, la gynéco donne plusieurs ordonnances d’examens, à faire uniquement en avril (« mais d’ici là, Mademoiselle Chou, vous serez déjà enceinte !!! », je cite).

Consciencieusement, Mademoiselle Chou continue de tout noter et voir ses cycles s’étirer dans le temps (de 28 jours, on passe à 35 en moyenne avec des hauts et des bas) jusqu’en avril.

Avec beaucoup d’appréhension, il faut le dire. Stressée un jour, stressée toujours. Et avec des amies très malignes qui disent « c’est dans ta tête, pas dans tes ovaires », « si t’y penses, c’est foutu » et j’en passe.

Et comme en avril, on ne se découvre pas d’un fil, c’est le cœur léger que Mademoiselle Chou va passer une écho de la réserve ovarienne. Là, elle se prend dans la tête qu’elle a des ovaires polykystiques, un kyste-un vrai (sur l’ovaire gauche) et une masse « non identifiée » à droite.

Retour chez la gynéco qui refuse ce diagnostic (sans le vérifier d’une façon ou d’une autre et surtout pas par une écho) et affirme que Mademoiselle Chou sera enceinte avant la fin de l’été (ah ! ah ! LaFrisée, elle fait aussi Madame Irma).

Une petite voix dit alors à Mademoiselle Chou de prendre un deuxième avis auprès d’un ponte de la gynécologie parisienne (il voit les plus beaux va*gins de toute la capitale). Le ponte est dit « LeGrandSec» (tellement il est mielleux et aimable). Après une écho, le diagnostic OPK est confirmé début mai, la « masse » est laissée de côté et un traitement est donné pour le kyste. « 90 euros, au revoir Madame Mademoiselle Chou »

 

(Un petit bilan de santé s’impose : à ce jour, le kyste est dégommé (youpi !) et surtout l’échographiste est inquiet pour la masse, mais visiblement, cette masse n’inquiète que lui car aucun des deux gynécos vus n’en a parlé).

 

Mais, mais, mais….c’est là que l’on entre dans la 4e dimension.

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